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Toute personne morale ou physique est passible d’être la victime des acteurs qui n’arrivent pas à payer leurs dettes ou qui ne les payent pas du tout. Si la situation est vérifiée, le créancier a donc du fil à retordre ; mais il peut prévenir la situation plutôt que le guérir. C’est autant de difficultés à surmonter qui incitent le créancier à doper des mesures plus ou moins punitives. L’envoi de lettre de mise en demeure et le recours à des professionnels sont extrêmement utiles.L’huissier ou l’avocat et même les services de recouvrement, tout est venu remplir l’imagination des investisseurs pour venir à bout de cette situation embarrassante.
Comment établir un contrat ?
Il est intéressant de mettre au grand jour le contrat que le consommateur doit conclure d’un commun accord avec son créancier. C’est alors que de nombreuses questions doivent être élucidées de manière ou d’une autre, juste pour clarifier les étapes par où il faut passer. Le contrat doit contenir les détails sur le prix et le délai de livraison ou de paiement. Il en est de même pour celui qui est responsable de certains actes. Bref, toutes les questions sont minutieusement revues à la loupe de façon à éviter toute forme de dérapage de la part de qui que ce soit. En outre, les modalités sont explicitées dans le contrat ; on y mentionne également les intérêts qui sont dus à cause d’un éventuel retard de paiement. Il se peut qu’il y ait des pénalités si des défauts sont constatés.
Mettre la solvabilité du client au premier plan
Si le contrat se veut être une priorité pour le fournisseur afin de se protéger contre tout acte malveillant des clients, une autre précaution doit être précisée. Il s’agit de se renseigner en interne sur la solvabilité du consommateur ou par le biais des services spécialisés.Ces derniers disposent de la faculté d’évaluer la possibilité de remboursement des clients concernés.La vigilance est de mise si les clients sont considérés comme des mauvais payeurs au terme des contrats répétitifs qui font baisser l’attention des créanciers. Le plus souvent, des débiteurs malveillants profitent toujours de la confiance de leurs partenaires financiers pour disparaître sans raison apparente. C’est une question de se mettre constamment en garde pour ne pas se faire duper par des clients réputés mauvais payeurs.
Le suivi et l’évaluation des opérations
Une autre étape qui est une suite logique à l’établissement de contrat et de la solvabilité du client, c’est le fait de faire du suivi sur ce qui est des créances échues. D’après les observations, la plupart des dettes ayant plus de 3 mois de retard risquent d’être irrésolues. Par conséquent, point n’est besoin d’être inactif : le mieux c’est de booster le client pour qu’il réagisse mieux face aux problèmes qui sévissent. Cela lui évite de ne pas figurer parmi la liste des mauvais payeurs. Les commerciaux sont les premiers à se rendre compte de la situation si elle s’empire ou non. Le fournisseur doit être avisé en temps réel en cas de besoin. Si une entreprise quelconque se trouve dans le camp des débiteurs en difficulté financière, le mieux c’est de chercher à sauvegarder les factures encore impayées.